Pour Miss Capote, la cape imperméable est un élément essentiel de l'uniforme de soumise et c'est avec plaisir que je lui donne satisfaction.
Par temps de pluie, cet esclave porterait la cape pour aller faire mes courses dans le quartier mais aujourd'hui, elle va rester dans mon donjon où elle ne demeurera cependant pas au sec.
J'ai choisi une cape étroite en plastique épais à capuchon fixe dont la couleur blanche est devenue avec le temps d'un beau jaune…pisseux.
Enveloppée, plutôt enfermée sous cette cape, Miss Capote n'est plus maintenant qu'un objet devant me permettre de satisfaire certains besoins ; plus exactement, un besoin.
Afin de ne plus voir sa face de cul, j'ai enfouie sa tête dans une culotte en plastique ne laissant qu'une ouverture au niveau de la bouche. Le capuchon de la cape relevé et lacé, il ne reste visible que la bouche dans cette cagoule intégrale blanche.
Je fais allonger mon esclave dans mon grand caisson en bois puis je l'immobilise par des sangles très serrées des jambes jusqu'aux épaules.
Dans un claquement sinistre, je referme l'épais couvercle puis la trappe qui se trouve au niveau du visage. Dans le noir total, mon esclave va rester un long moment à attendre ce que je lui réserve tout en transpirant dans son linceul en plastique.
N'ayant que la bouche de découverte, Miss Capote doit conserver la bouche bien ouverte pour respirer.
J'ouvre la trappe et je m'assied juste au dessus de mon esclave afin de l'utiliser comme une chiotte. Je le vois s'agiter puis lorsque son excitation cesse; je dirige mon jet d'urine tiède sur son visage et plus particulièrement vers la bouche. Par rafale, le jet de pisse abreuve mon esclave et arrose son capuchon. Il boit rapidement afin de pouvoir respirer. Bientôt, ne pouvant plus avaler assez vite, le jet devient douche et de minces rigoles se forment puis s'infiltrent sous la cape. Ce qu'il n'a pu boire se transforme en une belle flaque. Tout mouvement de mon esclave fait se déplacer la poche d'urine dans laquelle sa tête baigne. Il supplie d'en recevoir plus mais je referme la trappe ; le silence retombe mais on entend parfois comme un clapotis dans la poche de pisse qu'est devenue sa cagoule.
Je vais bientôt revenir pour le satisfaire et lui administrer toute l'urine que je lui ai réservée. Une poche à lavement bien remplie avec l'extrémité du tube dans la bouche devrait l'occuper un bon moment surtout que j'ai fermé le robinet afin que le débit soit très faible. Dommage que ce WC ne puise être placé à l'extérieur… au soleil !